Le bouffon
Par HubbubHum. 25/09/2006, 11h50. Revue de Presse médias | Lien permanent.
Un article du journal "Le Bouffon" sur Le Milieu (ça date de mars 2006, mais on vient de le récupérer...) :
Par HubbubHum. 25/09/2006, 11h50. Revue de Presse médias | Lien permanent.
Commentaires
je tiens à préciser que yo tient une pomme de douche et non un godemiché, par contre les pauvres tronches sont absolument véritables !!!
En y regardant de plus près je trouve que Guillaume à un sourire laissant aparaître une certaine extase alors que la main droite de Yohan n'est pas apparente, de là à en tirer certaines conclusions .... La pomme de douche ne serait qu'une diversion pour mieux detourner les regards ???
j'me suis rendu compte de rien ! juré !!!
Je vois que ça commence bien le site!!!Bravo pour ces commentaires qui ne volent pas plus haut que la ceinture!!
euh le chef du blog, je crois que je me suis désinscrite sans faire exprès je te le jure! ç'était sûrement pour me punir de ma réflexion précédente...
ça commence bien les apprentis d'la souris ! screugneugneu ! j'te réactive bzzzzttt !!!
ce n'est pas parce que gayhomme est devenu papa qu'il doit refouler ses tendances ......
Pour nous rattraper auprès de cette demoiselle, quelque chose d'un peu plus spirituel :
Je n'ai songé qu'à toi, ma Belle, l'autre soir.
Quelque chose flottait de tendre dans l'air noir,
Qui faisait vaguement fondre l'âme trop pleine.
Je marchais, on eût dit, baigné dans ton haleine.
Les souffles qui passaient semblaient rouler dans l'air
Un souvenir obscur et tiède de ta chair.
J'aurais voulu t'avoir près de moi, caressante,
Appuyée à mon bras dans ta grâce enlaçante,
Et lente et paresseuse, et retardant le pas
Pour me baiser sans bruit comme on parle tout bas.
L'amour vibrait en moi comme un clavier qu'on frôle
Ô câline d'amour bercée à mon épaule !
Et je t'évoquais toute avec ton grand manteau,
Et la touffe de fleurs tremblante à ton chapeau,
Et tes souliers vernis luisant dans la nuit sombre,
Et ton ombre au pavé fiancée à mon ombre.
Il est ainsi des soirs faits de douceur qui flotte,
De beaux soirs féminins où le coeur se dorlote,
Et qui font tressaillir l'âme indiciblement
Sous un baiser qui s'ouvre au fond du firmament.
Tes yeux me souriaient... et je marchais heureux
Sous le ciel constellé, nocturne et vaporeux,
Pendant que s'entr'ouvrait, blancheur vibrante et pure,
Mon âme - comme un lys ! - passée à ta ceinture.
J'ai oublié de préciser que c'etait de Albert SAMAIN.
aaaaaaaahhhh ça relève le niveau !!!
merci damien & albert !